samedi 26 novembre 2016
Le désenclavement du Fouta en question
Parfois on se demande est ce que le Fouta fait parti du Sénégal tellement qu'il est ignoré par les autorités sénégalaises alors que ses populations vivent dans des conditions très difficiles, liées à son enclavement pendant l'hivernage. D'où l'interpellation de ces habitants, à l'Etat du Sénégal pour réparer une injustice sociale qui n'a que trop durée.
jeudi 24 novembre 2016
Déclaration de Marrakeck sur le changements climatique
Conférence sur le climat, Maroc 2016 |
Les chefs d’état et de
gouvernement africains réunis au Maroc dans le cadre du COP 22, à l’invite du
Roi Mohammad VI, ont publié une déclaration dans laquelle ils soulignent que
l’Afrique qui a le moins contribué aux émissions de gaz à effet de serre est le
continent le plus touché par les changements climatiques et leurs effets sur
les territoires.
Selon eux les régions africaines ont volontairement lancé des initiatives en matière d’adaptation et d’atténuation visant à améliorer et promouvoir un développement durable.
Ils affirment l’importance de la mise en œuvre adéquate des Objectifs de Développement Durable fondés sur les principes de Rio surtout celui de « la responsabilité commune mais différenciée » pour relever les défis du changement climatiques.
Ils ont tous réaffirmé leur ambition de faire de l’action pour le climat un levier d’émergence, en vue de construire un modèle de développement inclusif et durable répondant aux aspirations légitimes des populations africaines et préservant les intérêts des générations futures.
Les chefs d’Etats et de gouvernement ont dit toute leur volonté d’oeuvrer collectivement et solidairement pour une Afrique résiliente au changement climatique.
Ils engagent à promouvoir les politiques et les mesures requises en matière d’adaptation qui soient aussi catalyseurs pour une transformation structurelle profonde sur des plans économique et social en Afrique.
Ils sont tous unanime que l’heure n’est plus aux discours mais qu’il faut agir pour « diminuer » les dégâts que pourrait causer davantage ces changements climatiques sur notre mode de vie et qu’il est aujourd’hui impératif que les plus gros pollueurs soient conscients et qu’ils prennent leur responsabilité en essayant d’adopter les mesures prises dans le sens de changer cette situation, qui d’année en année devient de plus en plus inquiétante pour l’avenir de l’Humanité sur terre.
Selon eux les régions africaines ont volontairement lancé des initiatives en matière d’adaptation et d’atténuation visant à améliorer et promouvoir un développement durable.
Ils affirment l’importance de la mise en œuvre adéquate des Objectifs de Développement Durable fondés sur les principes de Rio surtout celui de « la responsabilité commune mais différenciée » pour relever les défis du changement climatiques.
Ils ont tous réaffirmé leur ambition de faire de l’action pour le climat un levier d’émergence, en vue de construire un modèle de développement inclusif et durable répondant aux aspirations légitimes des populations africaines et préservant les intérêts des générations futures.
Les chefs d’Etats et de gouvernement ont dit toute leur volonté d’oeuvrer collectivement et solidairement pour une Afrique résiliente au changement climatique.
Ils engagent à promouvoir les politiques et les mesures requises en matière d’adaptation qui soient aussi catalyseurs pour une transformation structurelle profonde sur des plans économique et social en Afrique.
Ils sont tous unanime que l’heure n’est plus aux discours mais qu’il faut agir pour « diminuer » les dégâts que pourrait causer davantage ces changements climatiques sur notre mode de vie et qu’il est aujourd’hui impératif que les plus gros pollueurs soient conscients et qu’ils prennent leur responsabilité en essayant d’adopter les mesures prises dans le sens de changer cette situation, qui d’année en année devient de plus en plus inquiétante pour l’avenir de l’Humanité sur terre.
vendredi 11 novembre 2016
Les Débats du "Monde Afrique"
Les étudiants du Cesti participants à la rencontre |
Pendant deux jours,
Dakar a abrité les journées de réflexions sur la jeunesse et le système
éducatif en Afrique.
La cérémonie d’ouverture a été présidée par le premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dione, qui lors de son discours, a appelé toute la jeunesse africaine et celle du Sénégal en particulier, à « embrasser »les sciences et techniques. Il a également profité de cette occasion pour passer en loupe l’ensemble des réalisations du gouvernent du Sénégal pour rendre le système éducatif beaucoup plus performant.
Ces journées de réflexion (27 et 28 Octobre) ont été l’occasion pour « Le Monde Afrique » de convier les plus grands penseurs du continent africain dans la capitale sénégalaise pour discuter des questions liées à la formation des jeunes et leur insertion dans le monde du travail.
De Felmin SARR à
Achille Mbembé en passant par Ibrahima thioub (le recteur de l'Ucad), tous les intervenants
sont unanime, que pour développer l’Afrique, il faut reformer le système éducatif
en mettent l’accent sur l’enseignement des sciences et les techniques, qui pour
le recteur de l’Ucad, Ibrahima Thioub, « constituent les métiers de
demain et sans lesquels l’Afrique ne pourrait jouer son rôle dans un monde
devenu très compétitif ».
M. Ibrahima Thioub a
profité de cette rencontre pour revenir sur les réformes entamées par les
autorités sénégalaises pour orienter les enseignements vers les sciences et les
techniques en concerne l'Université de Dakar.
Mais pour Felmine Sarr, réformer veut dire en
aucun cas rejeter toutes autres disciplines notamment les sciences sociales, qui pour l'enseignent de l'UGB, constituent des éléments fondamentaux pour l'appropriation de notre passé mais aussi des vecteurs par lesquels, l'Afrique pourrait montrer tous ces atouts dont-elle dispose en termes de culture et autres.
Ces journées ont également permis à la jeunesse sénégalaise de mieux appréhender les questions liées à l'éducation et de comprendre les défis à relever, le tous pour répondre aux exigences du monde actuel en termes d'éducation et de formations en Afrique et du Sénégal en particulier.
Ces journées ont également permis à la jeunesse sénégalaise de mieux appréhender les questions liées à l'éducation et de comprendre les défis à relever, le tous pour répondre aux exigences du monde actuel en termes d'éducation et de formations en Afrique et du Sénégal en particulier.
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