Conférence sur le climat, Maroc 2016 |
Les chefs d’état et de
gouvernement africains réunis au Maroc dans le cadre du COP 22, à l’invite du
Roi Mohammad VI, ont publié une déclaration dans laquelle ils soulignent que
l’Afrique qui a le moins contribué aux émissions de gaz à effet de serre est le
continent le plus touché par les changements climatiques et leurs effets sur
les territoires.
Selon eux les régions africaines ont volontairement lancé des initiatives en matière d’adaptation et d’atténuation visant à améliorer et promouvoir un développement durable.
Ils affirment l’importance de la mise en œuvre adéquate des Objectifs de Développement Durable fondés sur les principes de Rio surtout celui de « la responsabilité commune mais différenciée » pour relever les défis du changement climatiques.
Ils ont tous réaffirmé leur ambition de faire de l’action pour le climat un levier d’émergence, en vue de construire un modèle de développement inclusif et durable répondant aux aspirations légitimes des populations africaines et préservant les intérêts des générations futures.
Les chefs d’Etats et de gouvernement ont dit toute leur volonté d’oeuvrer collectivement et solidairement pour une Afrique résiliente au changement climatique.
Ils engagent à promouvoir les politiques et les mesures requises en matière d’adaptation qui soient aussi catalyseurs pour une transformation structurelle profonde sur des plans économique et social en Afrique.
Ils sont tous unanime que l’heure n’est plus aux discours mais qu’il faut agir pour « diminuer » les dégâts que pourrait causer davantage ces changements climatiques sur notre mode de vie et qu’il est aujourd’hui impératif que les plus gros pollueurs soient conscients et qu’ils prennent leur responsabilité en essayant d’adopter les mesures prises dans le sens de changer cette situation, qui d’année en année devient de plus en plus inquiétante pour l’avenir de l’Humanité sur terre.
Selon eux les régions africaines ont volontairement lancé des initiatives en matière d’adaptation et d’atténuation visant à améliorer et promouvoir un développement durable.
Ils affirment l’importance de la mise en œuvre adéquate des Objectifs de Développement Durable fondés sur les principes de Rio surtout celui de « la responsabilité commune mais différenciée » pour relever les défis du changement climatiques.
Ils ont tous réaffirmé leur ambition de faire de l’action pour le climat un levier d’émergence, en vue de construire un modèle de développement inclusif et durable répondant aux aspirations légitimes des populations africaines et préservant les intérêts des générations futures.
Les chefs d’Etats et de gouvernement ont dit toute leur volonté d’oeuvrer collectivement et solidairement pour une Afrique résiliente au changement climatique.
Ils engagent à promouvoir les politiques et les mesures requises en matière d’adaptation qui soient aussi catalyseurs pour une transformation structurelle profonde sur des plans économique et social en Afrique.
Ils sont tous unanime que l’heure n’est plus aux discours mais qu’il faut agir pour « diminuer » les dégâts que pourrait causer davantage ces changements climatiques sur notre mode de vie et qu’il est aujourd’hui impératif que les plus gros pollueurs soient conscients et qu’ils prennent leur responsabilité en essayant d’adopter les mesures prises dans le sens de changer cette situation, qui d’année en année devient de plus en plus inquiétante pour l’avenir de l’Humanité sur terre.
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