Dans la pratique du
journalisme ont dit toujours que « les faits sont sacrés, l’opinion est
libre ». Cette formule qui était valable il y’a quelques années, ne l’ai
plus ou n’est plus appliquée à sa juste titre.
Parce qu’aujourd’hui, nombreux
sont les journalistes qui considèrent
que son leurs opinion sont sacrées. Ce qui conduit souvent à une déformation
des faits.
Mais le phénomène qui
domine le plus la presse aujourd’hui est notamment le manque d’objectivité, les manipulations,
les mensonges etc. de la part des journalistes. Des faits notés même dans les journaux considérés
comme étant les plus crédibles à
l’exemple de New York Times, qui avec l’affaire Jayson Blair, a été accusé
d’avoir de plagia des articles.
A côté de ce manque
d’objectivité des journalistes ou des médias de manière générale, on peut
évoquer, le moyen de propagande que sont devenus ces derniers à travers leur
implication pour défendre des positions,
qui en réalité ne sont pas fondées.
Et là, l’exemple donné
par l’auteur n’est rien d’autre que l’accusation de l’Irak de retenir une arme de destruction massive par les Etats-
unis. Une période pendant laquelle les médias ont permis de rendre une simple
accusation à une vérité « universelle » conduisant ainsi à un conflit
que nous connaissons tous.
Toutefois l’auteur
reconnait qu’à coté il existe des journalistes qui se laissent manipuler, et
qui sont capables de dire non à un moment donné.
Pour l’auteur cette
situation est surtout due au fait que La presse quotidienne se retrouve au bord
du précipice et qu’elle recherche à tout prix des idées pour survivre.
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